La mobilité du futur s’est à nouveau exposée cette année à Vivatech. Dans les grandes tendances de cette édition, on retrouve la mobilité liée à l’environnement pour des déplacements autonomes, électriques, flottants ou volants. Le but : désengorger le trafic en ville, réduire la pollution et les nuisances sonores.
En tête de cette vague mobile, la trottinette en free-floating ne cesse de conquérir le coeur des citadin·es. Malgré les problèmes liés à son utilisation (trottinettes laissées n’importe où sur les trottoirs, vitesse de l’appareil, dangerosité de la conduite face aux piétons…), cet appareil envahit les rues. Le marché très concurrentiel oblige les marques à se positionner et à adopter des codes simples et percutants.
Branding d’action
Lime, Bird, Hive, Wind, Bolt, Jump, Dott, Spin, Lyft (US), Tier… la majorité des trottinettes électriques en partage, à Paris comme aux US, ont un nom en quatre lettres. Pourquoi ? Pour Aaron Levin, Directeur de Création de l’agence de design Curius, deux hypothèses se cache derrière cette uniformisation.
Des codes identifiés
Aaron Levin : « Le leader et précurseur de la nouvelle mobilité s’appelle Uber. C’est une marque en quatre lettres. En e-scooter à partager, il y a Coup. Les trottinettes s’engouffrent dans la brèche et s’achètent à moindre coût une forme de reconnaissance immédiate en adoptant la même configuration. On a connu ça pour les acteurs natifs de l’internet avec les doubles “o”. D’abord Google et Yahoo, puis Facebook, Ooshop, Wanadoo, Goop, Deliveroo… »
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